L’écluse double du Guetin a des portes assez neuves dont l’angle a été changé, ce qui réduit la place disponible
Il faut monter très doucement ,collé à la porte, ce qui interesse bien les visiteurs du site du bec d’Allier
Le bateau Coluche, un peu plus long que nous a du mettre ses ancres sur le pont pour pouvoir passer, avec difficulté
Puis, dans le grand bief de 20 km, difficile à faire ‘année dernière, Isabelle et Raymond s’en souviennent,
nous partons sereins avec notre 1,40m d’enfoncement. Hélas, VNF faisant des travaux en aval du Guétin, les agents ont tiré de l’eau.
D’autre part les agriculteurs ont le droit de tirer de l’eau la nuit pour l’arrosage. Or à 17h, les pompages marchaient allègrement, car le maïs est gourmand
Nous en avons vu plus de cinq sur le bief
Partant du fait que le maïs est prioritaire, cela réduit la compétitivité du 38m
il y a également le problème de fuites dû aux berges parfois « approximatives »..
Cela laisse le temps à Olivier de visiter les alentours en vélo
Après le vélo, maitre incontesté de la raquette chasse-mouche
l’été, on a un travail fou certains soirs si l’on passe près des prés où sont les vaches
En aval de l’écluse d’Abron, les cigognes sont revenues nicher
l’une est de Barcelone, l’autre des environs.Les petits attendent le retour des parents pour e déjeuner
Les cigognes sont baguées afin que l’on suive les migrations, rencontres, localisation des nids
Un magnifique four à céramiques, malheureusement plus en activité
C’est avec plaisir que nous retrouvez les éclusiers que nous connaissons
à l’écluse 14, près des forges de Perreuil, l’éclusier est un jardinier hors pair
voici le résultat
C’est l’angle de buscage qui a été réduit, ce qui donne un angle plus vif vers l’amont pour les portes ? Ca doit être pour réduire la poussée latérale et reporter une plus grande partie de cette poussée sur la longueur de l’ouvrage. Ce qui est couillon, c’est qu’au moment de la mise au gabarit Freycinet, vers 1895, on avait plus de 90 m de longueur utile (il y avait 3 sas de 30,40 m minimum) et qu’on aurait pu faire deux sas de presque 45 m au lieu des deux de 39 m actuels. Sur ce coup-là, M.Mazoyer a été un peu faible… Sans doute visait-il la moindre consommation en eau d’un ouvrage qui clot une partie assez faiblement alimentée (Abron et Acolin sont aps trop loin, mais c’est assez faible, la Besbre est bien plus loin, quant à Roanne-Digoin qui alimente principalement toute cette partie amont du canal, c’est à presque 100 km en amont !).
Voila. Encore une fois on ne m’a pas demandé mon avis à l’époque.
Certes, je n’étais pas né.
Mais c’est pas une raison.