Bizarre de traverser l’usine, avec des hauts fourneaux éteints, des bâtiments vides, désaffectés, rouillés
Aucune trace de vie, mis à part le déchargement de ferrailles et le chargement des bobines transformées.
Vue de l’eau, ce lieu donne une impression de fin d’un monde…
Brrrrrr…. c’est cauchemardesque!…
Bizzzzzzzzzous
Mimi*
La question est : est-ce seulement une impresion ?
Je vous suis depuis pas mal de temps et je vous trouve très symphatiques.
Voici mon avis sur ce que vous avez vus.
C’est ici un exemple de plus sur la mondialisation du travail.
Alors qu’il était rentable sans la fermeture de la cokerie. Rapport d’émission de CO2 négative.
On ferme, pour exporter les émissions hors Europe. Alors ils ont importé du coke de Russie aussi par le chemin de fer.
La qualité de ce coke n’était pas au rendez-vous, alors rendement moindre = ont ferme.
Les brames viennent de Russie par chemin de fer et coûtent moins cher +/_ 90 € par brames.
Voila encore les ouvrages des canaux qui ne seront plus rentable dans un certain temps.
Chercher l’erreur.
Amicalement
Philippe
Bel endroit pour le tournage d’une poursuite avec meurtre en prime. Bien entendu, avec Marine en inspecteur de police.
Traces d’ADN sur l’escalier en métal. L’assassin a également jeté un mégot sur la passerelle. En tous cas, il y avait un témoin sur l’un des bateaux…
La musique est super pour l’ambiance ..! Sinistre ..Tirez-vous vite …
Oui je connais, j’habite à 10 km. Ce sont les vestiges d’un passé industriel florissant : mines de charbon, sidérurgie, verreries… Du travail pour toute une région. Et puis toutes les usines ont fermé. Chômage et tout le reste.
Derrière cette triste façade, Charleroi est une petite cité en pleine rénovation. Ancienne ville fortifiée par Vauban, elle se partage entre Ville Haute et Ville Basse. Belles façades art nouveau et art déco. Un très grand marché a lieu le dimanche matin. Charleroi (Marcinelle) patrie de Lucky Luke, Gaston Lagaffe et le Marsupilami pour les amateurs de BD. Voilà un visage moins sinistre…Bonne route et merci pour vos reportages
Habitant le Pas de Calais, les pays industriels abandonnés
je connais aussi et je comprends la nostalgie que certains peuvent ressentir.
Toutefois, je n’arrive pas vraiment à m’attendrir ; l’emploi certes, mais à quel prix !
La » grande » époque de l’industrie lourde, ce sont aussi les travaux très pénibles, les horaires harassants dès le plus jeune âge, les santés brisées et les paysages ravagés…
Je plaide personnellement pour un day after meilleur…
( comme en plus ça rime et que ça ne mange pas de pain, j’aurais tort de m’en priver )
Bise aux adorables navigateurs.
Quel souvenir !!
Fait avec vous, par temps gris et pluvieux, encore plus une sensation de fin du monde !!
Une réalité, pourtant…..
Bises
Danielle & Christian