Cette semaine, la société de supermarchés , Monoprix, nous informe dans la presse, à l’occasion de la Semaine du développement durable, avoir choisi depuis 2004 d’utiliser le transport fluvial pour acheminer les produits qu’elle vend dans ses magasins.
Le temps de transport est bien sûr plus long que par la route, mais c’est un problème soluble facilement avec un planification différente des approvisionnements. L’économie, en diminution d’émissions de CO2, est loin d’être négligeable, puisqu’elle atteint 50 tonnes de CO2 en moins émis sur l’année.
Résultat acquis avec seulement 50% des marchandises importées, qui peuvent pour l’instant être acheminées par ce moyen de transport.
Pour les livraisons en centre ville, Monoprix développe actuellement des véhicules de livraison verts, qui fonctionnent au gaz naturel. Il est prévu d’en compter 50 d’ici trois ans.
Excellente initiative, si l’information est vraie (parce qu’à l’heure actuelle…..). Espérons pour tout le monde qu’elle s’étende et dure…
A bientôt.
oui une bonne résolution pour tout le monde et un nouvel avenir pour le transport fluvial . amicalement .olivier
Excellente initiative en effet, mais le slogan publicitaire est une formule toute faîte qui se veut être dans l’air du temps.
Si un navire chinois arrive à Dunkerque rempli de chausettes, 6 heures après, une première péniche de 2000 tonnes peut chausser tous les habitants de Aire/Lys.
Pas sûr que les 45 semi-remorques équivalants fasse cela en 3 jours de moins…
En Belgique, la société COLRUYT fait la même démarche, notamment via le port d’Anvers vers Bruxelles. Oui mais… est-il raisonnable de consommer des oignons venant de Tanzanie, des pommes venant du Cap ou des kiwis de Nouvelle Zélande, même s’ils viennent par bateau plutôt que par avion ?
Pour le reste , vive le transport fluvial sur les voies d’eau intérieures plutôt que des milliers de camions sur les autoroutes.
Pas raisonnable du tout en effet Françoise, je suis bien d’accord.