Un message d’Alain Loisier, relayé par un lien de Jean-Philippe Lamotte, expliquant comment les mariniers pouvaient s’envoyer du courrier, grâce aux bons soins des éclusiers.
Hélas cette époque est révolue, la direction de VNF interdit désormais aux agents de garder le courrier des mariniers
« Bonjour , suite à votre dernier message un lien pour vous faire savoir comment les mariniers communiquaient à une autre époque…..mon épouse est née sur » LE PONTAILLAC » bateau H P L M .
Nous avons de la famille en Belgique sur des bateaux ; je suis inscris à votre blog ,ainsi nous gardons des contacts …..avec la batellerie .
Très bonne saison 2013 , le beau temps est de retour , bien cordialement , Chantal et Alain » .
Exellent retour sur le passé,nous communiquions de cette façon avec nos proches et aussi par le biais des bourses d’afrêttement.quelle belle époque ou nos mariniers avaient du boulot!!!!
Toujours très interessant Merci
Nostalgie, quand tu nous tiens…
Les messages des cartes postales d’une époque où c’était le seul moyen de communiquer sont souvent, à l’image de celui-ci, touchants de simplicité et reflètent bien la vraie vie de l’époque.
merci à ceux qui font vivre cette mémoire, et à vous de nous la relayer !
Oui le temps passe ….nostalgie quand tu nous tiens !!! Merci de relayer ces nouvelles « d’hier » un moyen de voir la vie autrement et de mesurer les progrès de la communication .Ne jamais oublier d’ou l’ on vient !
est-ce vraiment un » progrès » que cette interdiction de confier du courrier aux bons soins d’un éclusier?
Plus on avance dans le temps, plus notre société se déshumanise. Place aux robots, aux écluses automatisées, etc etc… Le marinier se retrouve dans un monde moderne ou l’informatique est roi pour finalement être isolé avec la perte des contacts. Plus de bourse d ‘affrètement où l’on retrouvait les copains et les échanges.L’anarchie qui règne aujourd’hui avec le marché libre a transformé la batellerie en une jungle où le chacun pour soi est le maître mot, sans nul doute un chemin qui profite à certains mais pas à la sauvegarde de la profession en tout cas. Triste constat d’une époque difficile qui ne présage rien de bon pour son avenir.
J.Claude du Cayor