Presse – Kairos Peniche

PAPERYO maquette designer

Kairos — Thu, 07 Sep 2017 11:05:31 +0000

Paperyo, infographiste et créateur 3D recrée Kaïros en maquette papier

Tout est à l’échelle du vrai.Il n’y a plus qu’à plier et coller, et ajouter Les fleurs sur la terrasse.

pour le poser sur l’eau, je m’interroge..

possibilite de commander, 12euros, nous contacter bouchard.kairos@yahoo.fr

https://www.instagram.com/paperyo/

Article proposé par un nouveau site fluvial: http://Odela.eu/

Kairos — Wed, 01 Jun 2016 20:03:49 +0000

Sam Mathey : « Ce guide fluvial Odela.eu accessible en ligne, est issu d’un projet démarré en 2014. Au départ l’intention était de rendre accessible sur son smart phone les canaux Vhf et les horaires des écluses pour des plaisanciers amateurs comme l’était son instigateur : toujours en mode panique au moment de se présenter devant celles-ci. De fil en « aiguilles de barrage », le site s’est enrichi de plusieurs repères utiles comme les haltes plaisances, les chantiers navals ou les stations-services… Aujourd’hui concentrées sur la Seine, les informations proposées gratuitement aux plaisanciers, sont disponibles comme sur la carte jointe, pour valoriser le patrimoine fluvial tant auprès des navigateurs que des promeneurs sur berge en leur proposant à terme une présentation active des bateaux et des monuments qu’ils croisent sur leur route.

Le site continue à progresser grâce aux remarques des utilisateurs et à la propre navigation de son fondateur. Une version bilingue devrait bientôt être prête pour aider nos amis étrangers à découvrir et apprécier les richesses de notre patrimoine. Plus nos contemporains auront conscience de sa valeur, plus nous aurons de chances de pouvoir le sauvegarder et l’entretenir.

Péniche solidaire au Bengladesh: Friendship avec Yves Marre

Kairos — Fri, 03 Oct 2014 14:16:55 +0000

Un bel événement solidaire:

la sortie le 8 octobre prochain du nouvel ouvrage d’Yves Marre : Navigateur Solidaire, à paraître aux éditions Isabelle Le Goff et préfacé par Erik Orsenna de l’Académie Française.

Cet ouvrage raconte une formidable aventure humaine : en cette fin janvier 1994, ils sont deux à bord d’une péniche fluviale «récupérée» grâce à Michel Rocard. Leur objectif ? Convoyer le bateau depuis Port-Saint-Louis-du-Rhône jusqu’au Bangladesh afin de le transformer en hôpital flottant pour les populations les plus défavorisées des rives du plus grand delta de la planète. Trois mois et demi plus tard, après avoir affronté les tempêtes hivernales de la Méditerranée, être entré «en douce » dans le canal de Suez, avoir franchi l’Océan Indien fidèlement guidée par Météo France et remonté le golfe du Bengale en repoussant cyclones et administrations tatillonnes, la péniche « Flèche d’Or » rebaptisée « Friendship » atteint enfin son but.

Depuis 2001, la péniche accueille chaque année, pour les soigner, de 30 à 40 000 personnes.

Si vous êtes intéressés par cette navigation solidaire n’hésitez pas à vous connecter sur son site

(http://yvesmarre.com/navigateur_solidaire/navigateur_solidaire.htm) pour découvrir le Communiqué de Presse du livre ou sur la page Facebook de l’association Watever pour découvrir les actualités de cet événement (lancement du livre, séances de dédicaces, événements médiatiques, …).

Revue de presse: journal Métro

Kairos — Wed, 18 Jan 2012 12:40:13 +0000

Corinne Fandard est devenue batelière il y a deux ans et demi. Photo : Zoe Ducournau/Metro

Une nouvelle vie à la barre d’une péniche

Porté par une croissance de 9 % en 2010, le transport fluvial a besoin de sang neuf Des jeunes croient en son avenir et se reconvertissent en patrons de péniche

Se former

Une attestation de capacité professionnelle (ACP) et un permis sont nécessaires. Une préparation de trois à quatre semaines est proposée avant de passer l’ACP. L’obtention du permis est subordonnée à l’acquisition d’une expérience de cent ou quatre-cents jours – selon les cas – de navigation.
Infos : www.fluvia.free.fr ou www.isni.eu

Ce petit bout de femme
de 31 ans, diplômée d’un bac + 2 transport international fluvial, a tout plaqué pour devenir patronne de péniche. Il y a deux ans et demi, Corinne lâche le volant de son ambulance et se retrouve seule à la barre d’une péniche de 38 mètres. Un choix de vie au fil de l’eau. “Il faut deux jours pour descendre de La Fère (Aisne) à Paris, quand les voitures mettent deux heures. J’aime cette lenteur, mais le boulot peut être speed”, sourit Corinne Fandard. Après le petit déjeuner, une inspection de la salle des machines et quelques manœuvres, elle va livrer 300 tonnes de gravier sur un quai d’Aubervilliers (Seine-Saint-Denis).
Jusqu’à présent, la bonne santé du secteur donne raison à ceux qui ont misé sur le transport fluvial. Avec une hausse de 40 % du trafic fluvial depuis quinze ans en France, le secteur tire profit de ses atouts de choc : silencieux, quatre fois moins polluant que le camion, bon marché. “Mais pour rester compétitif, il faut assurer
la relève. D’ici à cinq ans, 300 entreprises artisanales pourraient s’arrêter si leurs patrons ne sont pas remplacés lors de leur départ à la retraite”, explique Joël Erbeke, administrateur à la Chambre nationale de la batellerie artisanale. Depuis quelques années, il voit débarquer dans la profession des “gens de l’extérieur” qui aspirent à un mode de vie original.

• Un métier prenant
Beaucoup de mariniers travaillent en couple. Cela permet à l’un de conduire le bateau tandis que l’autre s’occupe de la maintenance, de l’entretien. C’est le cas de Jimmy Blézot et de sa femme. S’il file sur la Seine, entre Rouen et la capitale, Jimmy, ancien mécanicien de 31 ans, ne connaît pas le “métro, boulot, dodo” : “Je suis tout de suite sur mon lieu de travail et il n’y a pas de routine. Un matin, j’ai une vue sur un parking, l’après-midi sur un champ avec des vaches.” Prix de la liberté : 1 300 € de salaire net pour sa femme et lui. Et le couple ne compte pas ses heures de travail. Car sur l’eau, un batelier est tour à tour technicien, gestionnaire et commerçant. “On est toujours sur le qui-vive jour et nuit, à déjouer les vents et les courants, à faire face aux avaries, reconnaît Corinne Fandard. Ce n’est pas un boulot pour les stressés et les impatients.”

encadré : Se former
Une attestation de capacité professionnelle (ACP) et un permis sont nécessaires. Une préparation de trois à quatre semaines est proposée avant de passer l’ACP. L’obtention du permis est subordonnée à l’acquisition d’une expérience de cent ou quatre-cents jours – selon les cas – de navigation.
Infos : www.fluvia.free.fr ou www.isni.eu

5 %

C’est la part du fluvial dans le transport de marchandises en France.Sources : Voies navigablesde France et Chambre nationale de la batellerie artisanale.

“Un batelier doit être polyvalent et adaptable”
Danielle Rouganne, déléguée générale d’Entreprendre pour le fluvial.

Quelles sont les aides pour devenir patron de péniche ?
En 2009 a été créée Fluvial Initiative, une plateforme d’aide à la création d’entreprise. Elle attribue des prêts jusqu’à 90 000 eu ros garantis par l’organisme public d’aide aux PME Oseo.
Des professionnels accompagnent et labellisent les projets, ce qui facilite l’accès aux banques. Un bateau d’occasion coûte entre 100 000 et 1,5 million d’euros. En deux ans et demi, 45 entrepri ses ont été financées et, jusqu’ici, aucune défaillance n’a été constatée.
Quelles sont les bonnes raisons de se lancer ?
La profession a besoin de sang neuf pour se renouveler et résister à la concurrence des géants belges et néerlandais. Le Grenelle de l’environnement(*) a par ailleurs créé une forte appétence pour la voie d’eau. Les grandes surfaces et les constructeurs automobiles affichent désormais publiquement leur engagement dans le fluvial. De notre côté, nous essayons de créer un contexte favorable. Aujourd’hui, les entrepreneurs trouvent leurs contrats par le bouche à oreille ou par le biais d’un courtier. Fin mars, ils pourront se connecter sur notre site pour se mettre en relation avec des clients.
Quelles sont les qualités qu’un batelier doit posséder ?
Il faut être polyvalent et adaptable. Le milieu de la batellerie est longtemps resté fermé sur lui-même car le métier se transmettait de père en fils. Les nouveaux venus doivent donc apprivoiser ses codes et écouter les gens du métier.
propos recueillis par N.A
* Selon la loi Grenelle 1 de 2009, la part du non routier et du non aérien doit passer de 14 à 25 % d’ici à 2022.

5 %
C’est la part du fluvial dans le transport de marchandises en France.
Sources : Voies navigablesde France et Chambre nationale de la batellerie

Conférence sur l’avenir de l’ Escaut

Kairos — Tue, 20 Sep 2011 07:59:21 +0000

Escaut en devenir

Le Fluvial : Quelles Transformations pour les territoires,

quelles évolutions pour les populations ?

15 octobre 2011

14h00 -20h00

Au Foyer socioculturel d’Antoing – Belgique

Un Freycinet 38 m Théâtre, de passage à Epinal: « Cristal Canal »

Kairos — Fri, 18 Feb 2011 19:09:27 +0000

A bord du » Cristal Canal « , 38 m reconverti à l’origine par Michel Galabru en théâtre, Les comédiens Christelle et Jean Max Jalin, accompagnés de leurs enfants Maeva et Gaëtan, sillonnent depuis plus de dix ans les voies d’eau, d’Avignon, à la Somme , de l’Est au Nord, s’arrêtant le temps de représentations dans les villes.

Metteurs en scène et acteurs, ils jouent dans le Théâtre, de plus de cent places, installé dans la cale du bateau.

Les spectacles sont variés, et se retrouver dans une péniche ajoute au charme de l’atmosphère.

Actuellement ils sont à Epinal, pour quelques temps.

Voici le programme des pièces jouées cette saison

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Cet été, Cristal Canal sera aux manifestations de Béthune 2011, ville régionale de la culture « opération Atalante »

du 18 Juin au 3 Juillet

Des racines et des ailes au fil de l’eau, Kaïros fait son cinéma

Kairos — Sun, 23 Jan 2011 20:05:19 +0000

Pour faire découvrir le patrimoine fluvial , le réalisateur et caméraman Jérome Mignard, et son équipe

Géraud Combelles le preneur de son,

et Joseph Haley, le 2° caméraman

ont choisi de partager la vie quotidienne d’un transporteur fluvial,

en compagnie de passagers venus découvrir ce métier

Ils se sont invités à bord du Kaïros le temps d’un voyage, depuis le chargement d’orge de brasserie à Migennes, sur le canal de Bourgogne, jusqu’au nord de la France, en passant par l’Yonne,

la Seine, (merci Cees d’Overmeer pour l’organisation du trajet Migennes -Lieshout aux Pays-bas)

la traversée de Paris, le pardon de la batellerie de Conflans,

le musée « la cité des bateliers de Longueil Annel, le toueur du canal de st Quentin,

l’abbaye de Vaucelles, que Dominique et François sont allés voir en vélo, pendant que nous naviguions.

Dans cette émission,deux autres sujets:

un reportage sur les étangs de Brenne et le parc naturel

En Brenne, dans le Centre de la France, les professionnels du Parc Naturel s’attachent à préserver cette région à l’écosystème fragile. Depuis quelques années, ce paradis naturaliste est menacé par deux espèces envahissantes : une plante, la jussie, et surtout l’écrevisse rouge de Louisiane. Réussiront-ils à éradiquer ces deux fléaux ?

Avec leurs clichés, deux photographes amoureux de la Brenne se battent eux aussi à leur façon pour témoigner de cette précieuse beauté.

et un reportage sur les gorges du Tarn

Dans les Gorges du Tarn, les habitants de la région se battent pour préserver les petits villages isolés. Des vignerons, venus du bordelais, relèvent le défi de replanter la vigne qui couvrait autrefois les coteaux. Au Château de la Caze, le chef cuisinier fait découvrir à une stagiaire mauricienne les secrets culinaires de la région.

L’émission passe le 9 Février sur France 3 à 20h35. Elle ne nous sera pas présentée en avant première et nous la découvrirons à la télé,

le 9 ..gloups

La France au fil de l’eau
Un film de Véronique Préault et Jérôme Mignard

Informations TV, Radio: désintérêt ou ignorance ?

Kairos — Sat, 08 Jan 2011 15:56:34 +0000

En France, on n’entend jamais parler du transport fluvial, sauf bien sûr si apparait un événement vendeur tel qu’un bateau coulé, et si c’est devant la tour Eiffel, c’est encore mieux, cela fera de l’audience.

Lorsque les événements climatiques de décembre sont arrivés, nous avons beaucoup entendu parler des automobilistes bloqués, ce qui n’est pas drôle, c’est certain, des camions arrêtés par arrêté préfectoral, de retards de train, de cheminots mobilisés en urgence, mais personne n’a souligné que tous les bateaux de commerce ont continué de naviguer malgré la neige, les tonnages transportés étant conséquents, les plus petits comme le nôtre transportant de 10 à 14 camions.

Cette fois c’est la crue ! enfin, on va expliquer les difficultés potentielles de navigation car le Rhône, la Saône, la Moselle, la Seine, la Marne, l’Aisne, et j’en oublie sont en crue.

La TV er les radios ont beaucoup parlé des riverains, à juste titre, signalé que cela risquait d’être un peu difficile pour les automobilistes, et pour les rollers avec les voies sur berge inondées..le transport de commerce, oublié

Est ce difficile, dangereux, impossible de naviguer avec la rivière en crue ???? silence

On nous demande souvent si cela existe encore le transport fluvial, c’est compréhensible vu le peu d’intérêt porté par les médias envers ce transport pourtant écologique

Il faudrait peut être que Georges Clooney prenne son café à bord d’un bateau de transport, accompagné

de Angelina Jolie pour enfin passer au Journal télévisé

Reservoir du Bourdon

Kairos — Sun, 24 Oct 2010 21:34:57 +0000

Un article extrêmement complet de Bruno Vital, éclusier de Briare et mr Lamotte, journaliste sur le reservoir du Bourdon, avec photos de la construction..de quoi lire

article

Et oui, c’est l’hiver

Kairos — Thu, 14 Jan 2010 14:19:42 +0000

voici un reportage du canal du nord envoyé par mr Bourlart depuis son site sur la navigation :

« glace sur le canal du nord »

un autre temoignage de PICARO qui descend à Sète

Thijs dit : « On est maintenant dans le bief de Berry au Bac. La glace a été cassée ici avant-hier, mais il y a encore beaucoup de grands glaçons. A partir de Vitry, la glace n’est pas encore cassé, à cause de problèmes avec le brise-glace (comme toujours »

Nous avons bien ressenti le froid aussi,sur le canal du nord mais ayant rejoint la Seine, juste avant les glaces nous n’avons pas été bloqués

pas évident d’arpenter les plat-bords quand tout est gelé

quand nous sommes vides, ou que le temps est mauvais, la caméra d’avant nous aide bien en visibilité

Brigitte et Pierre profitent pour une ballade hivernale

puis Pontoise

un petit goûter pour lutter contre le froid