En revanche, à côté le port de plaisance très fréquenté, un loueur de bateaux et les chantiers navals donnent une vie importante à la ville , très agréable

On se plaint souvent de ne pas avoir d’amarrage, mais nous en avons débusqués trois, en geo catching, bien cachés dans l’herbe, un peu loin de la berge, au moins 2m..ça s’use moins il est vrai (on a trop tendance à chercher les pontons au bord de l’eau, ce n’est pas efficace..rigolo)

Un joli petit musée, au centre ville, tenu par une association

La guide,  une ex-marinière, très attentive, prête à de nombreuses explications

On retrouve les devises de bateaux

Les anciens moteurs,  » la bricole » sangle pour tirer les bateaux

La réplique du tableau de tour de rôle: bourse où les bateaux s’affretaient chacun leur tour par ordre d’arrivée au déchargement précédent

les photos du chantier naval « Bouchard », célèbre à st Jean et des tracteurs de halage (pour Papidema)

les cartes des voies d’eau navigables

le port fluvial, un peu en amont d’Arles se trouve dans le Rhône vif, il n’y a pas de darse contrairement à certains ports

Les bateaux passagers se tiennent plus près du centre sur des ducs d’albe réservés

assez peu d’amarrages, compte tenu de la taille des bateaux qui s’est considérablement augmentée depuis quelques années

c’est vite l’embouteillage

en revanche, le port n’est pas très accessible pour nos passagers, il faut vouloir nous voir, ce dont nous sommes flattés

S’abstenir si on à tendance au vertige pour Arles

Nous avons beaucoup apprécié la précision et gentillesse de la grutière (je ne sais pas si on dit comme ça) et de l’équipe de déchargement

Près du musée de la marine, de nombreux bateaux anciens, garés avec leur fiche descriptive. De quoi occuper les batophiles

le musée est plein d’expériences scientifiques ludiques

C’est super, on se croirait au musée de la découverte

les nouveaux quartiers, derriere le musée de la marine sont en cours de construction , mais les nouveaux batiments sont originaux

les vélos aussi

ils ne sont pas tous au mieux de leur forme

beaucoup d’expo interessantes aux Pays-bas, pas le temps de tout voir, il faut aller se placer pour le chargement

Cela semble léger, mais les paquets font douze tonnes

le bois pour fabriquer ces feuilles vient du canada

les grues de chargement sont imposantes et le grutier précis

le bateau est bien plein, mais nous arrivons à fermer les écoutilles afin de ne pas mouiller la marchandise

Merci aux acteurs de leur prestation, ne sont ils pas photogéniques ?

Comme ça, la terre rouge s’infiltre partout, c’est génial à nettoyer

Le chargement de Sète est tout sauf pratique pour les 38m

On doit placer le bateau sous la goulotte, mais tant qu’on est vide, la timonerie ne passe pas

on doit doit mettre un premier camion pour enfoncer le bateau, puis s’avancer.

Jadis,  la goulotte a du avoir une extension orientable, permettant de centrer le chargement

Mais, elle a rouillé, s’est cassé, personne ne l’a remise.

Comme la goulotte n’est pas du tout au milieu, si on veut avoir le bateau droit, on doit  écarter l’arrière du bateau au moteur, pendant que la bauxite tombe, sans trop voir, à cause de la poussière, et en essayant de revenir vite si besoin malgré le vent, ..plus pratique, tu meurs

La passerelle pour sortir serait pratique, moins loin du bateau.

Les agents du port nous ont montré sur le quai en face, un chargement avec goulotte orientable, quai avec renforts caoutchoucs, le rêve, mais ils ne savent pas pourquoi, il n’a jamais servi

Enfin, nous persistons et signons car nous aimons venir à Sète, mais si le responsable du port nous lit, merci de nous proposer l’autre quai, les mariniers seraient contents

Le bateau ayant chargé juste avant nous  des tourteaux de céréales (petits boudins agglomérés de résidus de céréales)

Si l’on ne veut pas tout  le résidu sur le bateau, on est obligé de nettoyer soi même la rampe de chargement…

Les poissons en sont fous, c’est impressionnant de voir leur  nombre .

On peut voir sur le film l’activité intense du port de Sète..c’est bien triste