Selon les biefs, les espèces sont différentes: les Scirpes flottants, ou des Myriophylles du Brésil

introduites pour décorer les jardins botaniques de Bordeaux notamment vers 1880.

Les espèces sont très envahissantes, étouffant les autres plantes.

Elles bouchent les arrivées d’eau, ne permettant pas un bon flux pour remplir les biefs.

voici l’avis à la batellerie

Canal entre Champagne et Bourgogne
Difficultés de navigation ( tous les usagers – dans les deux

sens )
– à partir du 12/08/2015 à 15:00
Canal entre Champagne et Bourgogne
entre les pk 59.264 (écluse de Bussy) et pk 108,923 (écluse de Reclancourt)
Commentaire :
Mesdames et messieurs les usagers de la voie d’eau sont informés des difficultés de maintenir
à niveau certains biefs versant Marne, notamment dans les secteurs de Reclancourt (bief n°26) à
Riaucourt (bief n°29) et de Mussey(bief n°42) à Bussy (bief n°46), du fait de l’étiage important
des rivières (la Marne à l’aval de Reclancourt et le Rognon à Mussey) et en raison de la
présence massive d’algues obstruant les alimentateurs des biefs n°40 et n°45. Les usagers de la
voie d’eau devront être vigilant et se conformer aux instructions données par les agents de Voies
navigables de France. Service(s) à contacter :

Les agents VNF répondent en passant la Faucardeuse pour arracher les plantes

Aux écluses du secteur de Joinville, les éclusiers otent les algues qui bouchent et empêchent l’ouverture des portes d’écluses à l’aide d’un petit tractopelle, et de fourches. Dur travail sous le soleil

Merci à l’équipe VNF de Joinville pour leur travail qui nous a malgré la baisse de niveau d’eau, permis de passer et continuer notre route

on voit ici le niveau trop bas dans le bief de Joinville

Entre Compiègne et Berry au Bac, nous cheminons sur l’Aisne.
Rivière chargée d’histoire, lieu important de la guerre de 14-18.
On peut y visiter le wagon de l’armistice a Rethondes.

Premier prix des écluses de France: pour les mariniers chaque écluse possède des ducs d’Albe d’amarrages, avec électricité et eau. On ne voit cela nul part ailleurs.Merci au responsable qui a pensé à la vie quotidienne des bateliers

pour ceux qui apprennent le code fluvial, petit exercice

Visite intéressante de Soissons, bien que le fameux vase n’y soit plus

A Vic sur Aisne, construction d’un nouveau barrage pour remplacer l’ancien barrage à aiguilles.

-Navigation grand gabarit ou petits canaux

-région bucolique ou animée

-Nord ou sud

-Mer du Nord ou Méditerranée

-France ou étranger

-points culturels, ou possibilités de randonnée et balades à vélo

finalement pourquoi choisir ? Nous partirons de Nevers, remonterons vers le Nord, la Belgique, Hollande

puis redescendront en flanant jusqu’à l’étang de Thau après Sète.

Kaïros est trop gros pour les écluses du canal du midi…

si VNF ne nous ferme pas « intempestivement »  le canal du centre plus tôt que prévu comme l’an dernier, nous irons voir nos amis à Roanne

regardez en détail nos trajets 2015

Ecuisses

Près du sommet du bief de partage (bief est la portion entre deux écluses, et de partage est le bief entre les écluses montantes et avalantes), qui est également la ligne de partage des eaux entre Méditerranée et Loire,

se trouve un petit musée de la batellerie.

ancienne écluse d’Ecuisses

Le canal ayant changé de tracé, on voit encore l’ancienne écluse et le fonctionnement des portes.

Ecluse d’Ecuisses

Le 38m ne navigue plus, mais sert de musée désormais

38m musée Ecuisses

38m musée Ecuisses

on peut encore voir un bateau à l’ancien gabarit

La ville possédait une grande usine de céramique, aujourd’hui hélas désaffectée

Usine de céramique Ecuisses

chateau d’Ecuisses

le chateau n’est guère plus brillant

chateau Ecuisses

Ecuisses

On retrouve beaucoup de facades avec de belles céramiques, signe de l’activité jadis florissante.

Puis le partage des eaux, du poste de contrôle de la chaine d’écluses

Belle navigation à un rythme tranquille, permettant de marcher entre deux écluses, explorer autour du canal

cueillir les champignons, enfin..les bons

les écluses manuelles nous permettent encore un contact avec les éclusiers qui préparent et manoeuvrent , que nous retrouvons à chaque passage,

La taille des écluses demande de la précision, nous n’avons que 5 cm libres de chaque côté

Comme nous allons vers le sud en souhaitant passer par la Seine amont et le canal du centre, nous regardons donc aujourd’hui les avis:

Chômages RIVIERE SEINE

ECLUSES DE VARENNES, LA CAVE, DES VIVES EAUX ET DU COUDRAY CHOMAGE 2013

Pris en application : ART. 1.22 du RGP

MELUN, vendredi 12 juillet 2013

AVIS A LA BATELLERIE N° FR/2013/03223

U.n arrêt de navigation du lundi 26 août 2013 à 06:00 au dimanche 29 septembre 2013 à 18:00 []

– Seine à l’amont de Paris entre les PK 71.200 et PK 129.740

En cas de besoin, le (ou les) service(s) à contacter est (sont) le(s) suivant(s) : Subdivision de Melun, 26 quai H. Rossignol, 77000, MELUN.

Tél : 01 64 83 50 00. Fax : 01 64 83 50 01.

Nous concluons donc « bêtement » que le 30 nous pouvons passer.

Pour peaufiner, nous faisons le calcul d’itinéraire sur le site de VNF de Paris à Nemours aujourd’hui pour vérifier, en indiquant départ le 30, en prenant soin de cocher les avis à la batellerie en cours:

Le routeur nous fait passer sans problème par la Seine Amont

Heureusement, nous rencontrons le bateau « Trucker » qui nous informe qu’en raison d’amiante, l’écluse de Coudray restera fermée au minimum 10 jours de plus, et que deja tous les bateaux s’accumulent.

Nous rapellons donc le num de tel indiqué sur l’avis à la batellerie:

En cas de besoin, le (ou les) service(s) à contacter est (sont) le(s) suivant(s) : Subdivision de Melun, 26 quai H. Rossignol, 77000, MELUN.

Tél : 01 64 83 50 00. Fax : 01 64 83 50 01.

et là on se fait enguirlander car ce monsieur ne gère pas les avis, et n’apprecie pas qu’on le dérange.
Nous pensions être des clients, nous sommes plutôt des pigeons

conclusion: le site VNF n’est pas à jour ni sur l’itinéraire, ni sur les avis

Attention !!! ce n’est pas une surprise mais c’est énervant, surtout si on se fait remballer. Heureusement que nous avons radio plat-bord.

Résultat, nous devrons prendre la Marne, le canal de la Marne à la Saône, la Saône, le canal du centre, en faisant attention car le canal du centre ferme le 12 novembre : nous devrons faire 100 km de plus

Dur dur de prévoir en navigation

je ne résiste pas à publier la chansonnette artistique de notre ami Gérard du célebre site Papidema:
Chanson pour VNF quand arrive l’été indien :
On ira où tu voudras, quand tu voudras.
Mais je ne suis pas sûr qu’on s’aimera encore lorsque l’amour sera mort.

Nous vous souhaitons une bonne ouïe pour écouter les usagers et les agents sur le terrain, pour que la communication ne soit plus uniquement sur le médiatique

une bonne réactivité pour ne pas attendre que tout s’écroule pour intervenir,

Une belle envie d’aimer la voie d’eau et ceux qui vivent et travaillent dessus et avec,

une âme de chevalier pour défendre auprès du gouvernement la pauvre voie d’eau opprimée

Nous souhaitons que l’envie de dynamiser la voie d’eau , et les visites fréquentes sur l’eau en bateau de mr Papinutti,(nouveau directeur)  soient suivis par ses collaborateurs et non refrénés par une certaine inertie

et qu’ils comprennent le vrai interêt de ce patrimoine avant qu’il ne soit trop tard

Il semble que le nouveau calcul d’itinéraire sur le site VNFprenne plus en compte les variabilités d’horaires , cela ressemble un peu à Fluppy de Fluvialnet.

Le seul hic, c’est que les mariniers étrangers ou plaisanciers n’ont que rarement internet mobile ou très cher, et que le réseau ne passe pas partout. C’est toujours mieux si  les panneaux sont clairs.

En cas de différence entre cahier d’horaires et horaire effectif, la personne a contacter est mme Despretz qui gère l’exploitation à Béthune. Ne pas hésiter à contacter pour faire avancer les choses

samedi matin, prêts à 7h25 à passer l’écluse, prêts à passer l’écluse, prêts à passer l’écluse, ..bon j’arrête de le dire, la perche est bien tournée, le feu reste désespérement rouge.

Oh, ce doit être une panne, c’est assez fréquent sur les canaux.

Nous regardons le cahier des horaires:

voyons, basse saison, tous les jours 7h30, c’est bien ça

nous appelons le numéro vert unique national: pas de chance, le service ne marche que du lundi au vendredi..

Nous finissons par trouver un numéro de tel: le chef d’équipe mr Debossu nous dit que finalement ils ouvrent à 9h ?????

il y a un avis a la batellerie soit disant, ah oui ? voici le panneau sur l’écluse , pas d’avis

les deux avis sont sur les periodes de chômage, rien à voir

horaire, pourtant sur le site internet VNF il est bien écrit 7h30,

Le site n’est jamais à jour, nous avions été bloqués un dimanche devant le toueur, par non mise à jour des horaires, bien sûr jamais dédommagé..

Il aurait fallu demander, d’après lui, à nos amis mariniers qui auraient pu nous dire les horaires..le Rogi derrière nous est surpris aussi,en plus ce n’est pas lui le responsble des horaires,

et puis ils manquent de crédit pour changer les horaires, sur les panneaux, d’après lui cela fait quand même deux ans que l’horaire a changé, il a le papier dans son bureau, voila qui nous aide sur le canal, et faire une mise à jour internet quand plusieurs webmasters sont à Bethune, ne semble pas trop infaisable.

Si chaque internaute veut avoir la gentillesse de faire un petit geste pour offrir au centre VNF un feutre indélébile,( ah non pas indélébile, les horaires changent tout le temps) pour changer les horaires, ce serait civique.

A l’aller, même problème, horaire du soir 19h à Couvrot, mais à 18h, tout est fermé..impossible de trouver quelqu’un

le lendemain, on nous dit, ah oui, on manque de personnel alors on ferme à 18h, sans prévenir, tant pis pour les gens qui aimeraient travailler.,

Impossible de s’organiser, personne n’est jamais responsable. Toute l’année est émaillée de problèmes dont personne n’est responsable

« écrivez à Bethune » est la phrase qui dédouane de toute responsabilité

ALLO ALLO, Bethune ? sachant que le personnel des bureaux ne vient jamais sur le canal, comment se faire comprendre ?. Il manque surtout un peu de bonne volonté et de comprehension de l’usager.

Nous faisons parvenir cet article à Bethune, au siège de VNF et prions toute personne ayant eu un problème de ce type de nous le préciser en commentaire afin que nous puissions le transmettre au siège, puisque telle est la procédure

Bon week end Mr Papinutti (PDG VNF)

rigole d’alimentation de l’Abron et de l’Acolin (canal latéral à la Loire)

description

Pour alimenter le canal latéral à la Loire, les eaux de l’ Abron sont dérivées et conduites par l’ intermédiaire d’ une rigole de 850 m de long (l’ ancien bief de moulin d’ Avril) vers le canal, en face du bourg d’ Avril-sur-Loire. L’ entrée de l’ eau dans le canal est réglée au moyen de deux vannes d’ un mètre de large chacune. En tête de dérivation et latéralement se trouve un déversoir de superficie (15 m) qui permet le déversement des eaux superflues dans le lit de la rivière et un déversoir de fond (6 vannes) destiné à l’ écoulement des eaux de crue. A partir de 1845, les ingénieurs décident de renforcer les ressources alimentaires en construisant la rigole de l’ Acolin qui conduit sur un kilomètre les eaux de cette rivière dans la rigole de l’ Abron. Sur certains points, la rigole de l’ Acolin a été recouverte de voûtes en maçonnerie probablement à la suite de glissement qui se sont produits dans les talus. Les 5 vannes d’ introduction des eaux de l’ Acolin dans la rigole sont établies à 300 m de l’ origine de la dérivation. La rigole de l’ Acolin présente une pente extrêmement faible de 0,034 centimètre par mètre. Deux petits ponts enjambent la rigole de l’ Abron et de l’ Acolin, sur les chemins conduisant au lieudit Champ-Père (garde-corps très soigné) et au moulin de Guenabre.

Le deversoir ayant cédé  depuis deux mois sur l’arrivée d’eau aux forges neuves ,la rivière devant alimenter le canal est à sec, les réparations d’urgence ayant été bricolées, et cassées au bout de deux semaines,  le bief est vide, on reste posé partout, les plaisanciers sont également bloqués, pour permettre de remonter le niveau

voici quelques photos des berges

ce matin dans  le bief en dessous l’écluse, il manque  50 cm,  il faudra attendre au moins une heure et demie  pour que le niveau remonte, entre l’écluse 16 et 17

entre 17 et 18, il manque 30cm, entre 18 et 19, 40cm….

le subdivisionnaire appelé hier, nous reproche de ne pas savoir naviguer, et de ne pas rester dans le chenal, sans préciser les problèmes d’arrivées d’eau

Contrairement aux superieurs hiérarchiques,nous remercions  sur le terrain les éclusiers,et chefs d’équipe,  qui courent et nous lâchent beaucoup d’eau pur que l’on puisse légerement avancer depuis hier au soir

Les crédits alloués par la directionVNF pour les draguages et refection des berges, seraient ils employés pour d’autres tâches ?. Toute réparation doit faire l’objet d’un appel d’offre, qui sera étudié, puis il faut un délai de trois semaines..la brèche qui empêche l’arrivée d’eau depuis juin, sera peut être réparée en septembre, si tout va bien

Pour aggraver le manque d’eau , les agriculteurs effectuent des pompages pour les champs, et paient l’eau à VNF, il semble que cela soit plus rentable

Dans le grand bief qui va vers le Guetin, il manque aussi 40cm, et la bosse que l’on touche est un aqueduc qui est d’habitude à 2,15m de profondeur, et aujourd’hui à 1,80m

Bosse en aval de l’écluse de Jaugenay, toujours en place cha
envoyé par kairospeniche. – Evadez-vous en vidéo.