Nous rejoignons le bateau \u00ab\u00a0ROGI\u00a0\u00bb, en limite des eaux navigables, en amont de Lyon, sur le Rh\u00f4ne.<\/p>\n
Un avis \u00e0 la batellerie a \u00e9t\u00e9 \u00e9mis, permettant aux huit bateaux de naviguer exceptionnellement sur ce trajet.<\/p>\n
Le vent est violent, le d\u00e9bit est mont\u00e9 presque \u00e0 600 m3, ce qui est un peu trop pour nous, car deux ponts tr\u00e8s \u00e9troits et un goulet rendent le courant tr\u00e8s fort<\/p>\n
Heureusement, le ROGI dont le moteur fait 420 ch (le n\u00f4tre 238 ch), met une corde pour pouvoir nous tirer si besoin.
\nGuy, responsable du voyage, vient \u00e0 l’vant du bateau et g\u00e8re la tension de la corde, tout en guidant Gil dans le chenal<\/p>\n
A deux reprises, sous le pont, puis dans le goulet, la corde se tend et il nous tire efficacement pour franchir les passages difficiles.<\/p>\n
Le bateau de VNF nous pr\u00e9c\u00e8de, montrant le balisage. Les bou\u00e9es sont petites et difficiles \u00e0 voir dans le petit chenal avec des virages et beaucoup de tourbillons<\/p>\n
Ca y est, nous sommes bien arriv\u00e9s, merci le ROGI, merci Guy.<\/p>\n