Convoyage d’une penichette de 9,30m de Joigny \u00e0 Corbigny<\/p>\n
![\"Cr\u00e9dit](\"http:\/\/www.kairos-peniche.com\/wp-content\/uploads\/2014\/11\/image.jpg\")
<\/a><\/p>\nCr\u00e9dit g.Bianchi<\/p>\n<\/div>\n
Il faut d’abord un bateau, et un capitaine<\/p>\n
<\/a><\/p>\nPhoto g. Bianchi<\/p>\n<\/div>\n
Et un matelot que l’on peut mettre au macaron<\/p>\n
<\/a><\/p>\nPhoto G.Bianchi<\/p>\n<\/div>\n
Sur l’Yonne, on doit partager les \u00e9cluses avec de gros bateaux<\/p>\n
<\/a><\/p>\nphoto G.Bianchi<\/p>\n<\/div>\n
M\u00eame pas peur, ce sont des gens sympa avec qui on peut parler<\/p>\n
<\/a><\/p>\nphoto G.Bianchi<\/p>\n<\/div>\n
Pass\u00e9 Auxerre, on est vraiment sur le canal du Nivernais<\/p>\n
<\/a><\/p>\nphoto G.Bianchi<\/p>\n<\/div>\n
o\u00f9 on peut enrichir sa collection \u00ab\u00a0d’\u00e9clusi\u00e8res\u00a0\u00bb<\/p>\n
<\/a><\/p>\nphoto G.Bianchi<\/p>\n<\/div>\n
Les \u00e9clusiers sont de dr\u00f4les de gens qui passent autant de temps au t\u00e9l\u00e9phone qu’\u00e0 man\u0153uvrer les portes<\/p>\n
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<\/a><\/p>\nphoto G.Bianchi<\/p>\n<\/div>\n
Et on peut avoir un horizon plus intime<\/p>\n
<\/a><\/p>\nphoto G.Bianchi<\/p>\n<\/div>\n
Cette partie du canal utilise largement la rivi\u00e8re, avec une d\u00e9rivation \u00e0 chaque barrage.<\/p>\n
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<\/a><\/p>\nphoto G.Bianchi<\/p>\n<\/div>\n
Des marques, dont certaines datent des premi\u00e8res ann\u00e9es du canal, rappellent qu’il y a des crues<\/p>\n
<\/a><\/p>\nphoto G.Bianchi<\/p>\n<\/div>\n
Quelques demeures affichent leur physionomie<\/p>\n
<\/a><\/p>\nphoto G.Bianchi<\/p>\n<\/div>\n
La majorit\u00e9 des bollards d’\u00e9cluses ont une forme tr\u00e8s esthetique, bien pratique pour d\u00e9faire l’amarre depuis le bateau<\/p>\n
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<\/a><\/p>\nphoto G.Bianchi<\/p>\n<\/div>\n
L’une des \u00e9cluses a un joli nom, celui du village d’\u00e0 c\u00f4t\u00e9, la forme du bollard est bien adapt\u00e9<\/p>\n
<\/a><\/p>\nphoto G.Bianchi<\/p>\n<\/div>\n
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Malheureusement, ils sont quasiment toujours assez loin du bord, pour qu’il soit impossible, \u00e9tant montant, de lancer l’amarre depuis le fond de l’\u00e9cluse vide<\/p>\n
<\/a><\/p>\nphoto G.Bianchi<\/p>\n<\/div>\n
S’il n’y a pas d’aide pour prendre la corde, il faut faire monter un \u00e9quipier \u00e0 l’\u00e9chelle, ce qui est souvent le cas, puisqu’on s’amarre pendant que l’\u00e9clusier ferme la porte aval<\/p>\n
<\/a><\/p>\nphoto G.Bianchi<\/p>\n<\/div>\n
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Deux d’entre eux sont de la r\u00e9cup\u00e9ration, les marques d’usure en t\u00e9moignent<\/p>\n
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<\/a><\/p>\nphoto G.Bianchi<\/p>\n<\/div>\n
Les \u00e9clusiers sont toujours inventifs pour d\u00e9corer les lieux<\/p>\n
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